
farines que mélangent les lois éternelles
pour d’autres pains et d’autres dents
la nuit tu tâtes soudain sans comprendre
la peur qui fouille au ventre des images
cherchant à clore sur soi le mouvement
et ces eaux nues de l’ardeur d’aller
encore et encore plus loin dans l’ouvert?
(et même et surtout quand la nuit se referme)
Loránd Gáspár