Née en 1983, Aurélia Lassaque est poète de langues française et occitane. Sensible à la dimension orale et scénique de la poésie, elle associe régulièrement ses lectures dans le cadre de spectacles vivants avec la musique, la vidéo et la danse. Elle collabore également avec des plasticiens. Poète cosmopolite, elle a donné des lectures à travers l’Europe, en Amérique Latine, au Maghreb, en Norvège, en Indonésie, en Inde dans de nombreux festivals. Engagée en faveur de la diversité linguistique, elle est avec Boubacar Boris Diop, conseillère littéraire du festival « Paroles Indigo » à Arles et du « Premio Ostana Scritture in Lingua Madre » en Italie. Son recueil Pour que chantent les salamandres (paru aux Éditions Bruno Doucey en 2013) a été traduit et publié en anglais (Francis Boutle Publishers, Londres), en hébreu (Keshev Publishing House, Tel Aviv), en néerlandais (Azulpress, Maastricht) et en norvégien (Forlaget Oktober, Oslo).
Elle fait partie des cinq auteurs français engagés dans le projet européen Versopolis.
Bibliographie
Recueils
En France :
- En quête d’un visage, Éditions Bruno Doucey, 2017.
- Pour que chantent les salamandres, Éditions Bruno Doucey, 2013.
- Cinquena Sason, Éditions Letras d’oc, 2006.
À l’étranger :
- For å la salamanderen synge (traduction norvégienne de Tom Lotherington), Éditions Forlaget Oktober, 2015.
- De zang van de salamanders, (traduction néerlandaise de Peter Boreas), Azulpress, 2014.
- Solstice and Other poems, (traduction anglaise de James Thomas), Francis Boutle Publishers, 2012.
Livres d’artistes
- Des oiseaux sans visage, Éditions les Monteils, 2013.
- La ballade du phénix, Éditions de la Lune bleue, 2012.
- Le rêve d’Orphée, Éditions les Aresquiers, 2011.
- Le rêve d’Eurydice, Éditions les Aresquiers, 2011.
- Et ne te retourne pas, Éditions de la Margeride, 2010.
- Ombres de Lune, Éditions de la Margeride, 2009, (rééditions en 2010, 2011 et 2013).
Publication comme traductrice
- Amir Or, Le musée du temps, (co-traduction Aurélia Lassaque et Jacques Rancourt), Éditions de l’Amandier, 2013.