Brise marine
La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres.
Fuir ! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres
D’être parmi l’écume inconnue et les cieux !
Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux
Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe
Ô nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe
Sur le vide papier que la blancheur défend
Et ni la jeune femme allaitant son enfant.
Je partirai ! Steamer balançant ta mâture,
Lève l’ancre pour une exotique nature !
Un Ennui, désolé par les cruels espoirs,
Croit encore à l’adieu suprême des mouchoirs !
Et, peut-être, les mâts, invitant les orages,
Sont-ils de ceux qu’un vent penche sur les naufrages
Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots …
Mais, ô mon cœur, entends le chant des matelots !
Stéphane Mallarmé
Chaîne Humaniste
Odes Maritimes multiples & variées
en cette année 2017 ,
bis repetita
( deux mille deux n’est pas si loin ).
Bis repetita
Odes maritimes diverses & aimées
en ce printemps-là
bis repetita
( deux mille dix sept n’est pas vain).
Odes maritimes
Bis repetita
Pessoa
Alvaro de Campo
De retour
Flammes & tangages
Lieu sans Nom
Tiberghien
Mars 2017
L’Autre Côté De L’Espoir
Aussi
La Sociale
Jusqu’à quand ?
Les Fleurs Bleues
La Part du Colibri
Qu’est-Ce qu’On Attend ?
La Rive dans le Noir
Zona Franca
Pat AGONIE
Un Paese di Calabria
Patagonia y otros
Loving , Voir.
Nostalgie de la Lumière
Nostalgia de la Luz
Guzman
Revoir et Revoir encore
Écouter écouter encore
Fabienne Brugère
Guillaume Le Blanc
» La Fin de L’Hospitalité »
« Je ne connais que pauvres et riches… »
Le Temps qu’il Fait
Villon , l’immense .
Pas si Moyen-Ageux…
Mars deux mille dix sept
« Pas Pleurer »
Lydie en avril
« Juste un pont sans Feu »
« La Langue Mordue »
Seyhmus
Oui nous sommes sang.
« Somos una Sangre »
Mon Hymne à moi
Et à Lila de Oaxaca.
Grand Kurozawa
Chien (s) En Rages
Vivre
Un Merveilleux Dimanche .
Deux mille dix sept
Citoyen d’Honneur…
Odes maritimes
Enchaînement des titres
Déchaînement des féroces .
Et des tangages
Plutôt que contre vents & marées
Surfer la Belara
Ou plonger dedans
Pour les sportifs
Même pas peur,
Et pour les craintifs
Comme moi
Juste la Fin d’un Monde
Ou pas…
De Toute Mes Forces
Avec douce & grande
Yolande M
Avril, Éclatante banlieue
Pas perdue
Juste pas un zoo
Moreau
Yolande
L’exil intérieur
Sans prendre les vagues
Et naufrages
Rages
Des mers
Océans -Mers
Relire Alessandro Baricco…
Et José Émilio Pacheco
Et aussi
Los Rios profundos
José Maria Arguedas
L’immense péruvien .
Todos meztizos
Toujours Arguedas
Tous sang mêlés .
En attendant l’été .
Sous le soleil exactement
Pas n’importe où
L’ombre vient bien assez tôt …
Véronique