La fenêtre nue/Étreinte

LA FENÊTRE NUE / ÉTREINTE

Toi rien, puis toi exactement. Plus rien de toi que nous. Tu — à la chute du jour, non moins brûlante.

Trêve des corps précipités et bleus. Je ne sais ni quelle étreinte, ni même l’image, qui pourraient les prolonger.

Deborah Heissler
in Sorrowful Songs, Æncrages & Co, Coll. « Voix de Chants »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.