Comme tu, cent fois suave

COMME TU, CENT FOIS SUAVE

Qui enveloppe l’essaim des heures, plus rien que l’empreinte, comme plus intense de l’if et du vert — je m’en souviens —, où l’on pressent l’embrasement de la lumière, aux branches nues qui se fige.

Déborah Heissler
Sorrowful Songs – Æncrages & CoColl. « Voix de Chants »